« Par malheur, il [Marx] a tenu à faire de sa méthode un instrument pour prédire un avenir conforme à ses vœux. A cet effet, il lui a fallu donner un coup de pouce et à la méthode et à l’idéal, les déformer l’une et l’autre […] Dans le relâchement de sa pensée qui a permis de telles déformations, il s’est laissé aller, lui, le non-conformiste, à une conformité inconsciente avec les superstitions les moins fondées de son époque, le culte de la production, le culte de la grande industrie, la croyance aveugle au progrès. »
• Sur les contradictions du marxisme (1943)
• Critique du marxisme (1934)
• Sur le livre de Lénine : « Matérialisme et empiriocriticisme » (1933)
• Progrès et production (1934)